11H35 Passage de l’Étoile d’Or – 75, rue du Fg St Antoine
Balade champêtre
Ici, seul le chant des oiseaux dérange… Qui s’en plaindrait. Après avoir franchi un pavillon XVIIe sous lequel un cadran solaire a été gravé en 1751, une cour pavée entourée de jolies maisons individuelles vous attend. Des bambous sont plantés pour protéger des regards indiscrets.
Le passage est agrémenté de jarres de camélias, de rhododendrons et de rosiers. Exquis.
Ici, seul le chant des oiseaux dérange… Qui s’en plaindrait. Après avoir franchi un pavillon XVIIe sous lequel un cadran solaire a été gravé en 1751, une cour pavée entourée de jolies maisons individuelles vous attend. Des bambous sont plantés pour protéger des regards indiscrets.
Le passage est agrémenté de jarres de camélias, de rhododendrons et de rosiers. Exquis.
11H45 Rue du Fg St Antoine
Les façades du Faubourg
Humons l’air en levant le nez. Les façades des immeubles se suivent mais ne se ressemblent pas. Au Moyen Âge, le faubourg Saint-Antoine était l’artère de l’artisanat et plus spécialement de l’ébénisterie. En 1700 on comptait 500 menuisiers et 400 ébénistes. À l’époque, les habitations édifiées sur la rue ne comptaient pas plus de trois étages d’habitation, les ateliers se trouvaient au fond des parcelles. Au 74, une ancienne briqueterie avec
sa grande cheminée se dresse toujours au-dessus d’une verrière. Un bâtiment inscrit à l’inventaire des monuments historiques. Au 68, l’architecte Jean-Michel Wilmotte, a marqué la façade de ses bureaux par de grandes baies et du métal noir. Un peu plus loin au n°30, le couturier Jean-Paul Gauthier, a préféré, lui, un décor de mosaïque et de céramique sur sa façade.
Enfin, au n°25 des colonnettes en fonte à chapiteaux ouvragés encadrent les grandes baies vitrées des anciens magasins.
Humons l’air en levant le nez. Les façades des immeubles se suivent mais ne se ressemblent pas. Au Moyen Âge, le faubourg Saint-Antoine était l’artère de l’artisanat et plus spécialement de l’ébénisterie. En 1700 on comptait 500 menuisiers et 400 ébénistes. À l’époque, les habitations édifiées sur la rue ne comptaient pas plus de trois étages d’habitation, les ateliers se trouvaient au fond des parcelles. Au 74, une ancienne briqueterie avec
sa grande cheminée se dresse toujours au-dessus d’une verrière. Un bâtiment inscrit à l’inventaire des monuments historiques. Au 68, l’architecte Jean-Michel Wilmotte, a marqué la façade de ses bureaux par de grandes baies et du métal noir. Un peu plus loin au n°30, le couturier Jean-Paul Gauthier, a préféré, lui, un décor de mosaïque et de céramique sur sa façade.
Enfin, au n°25 des colonnettes en fonte à chapiteaux ouvragés encadrent les grandes baies vitrées des anciens magasins.
